BLAGUES #3

Berthe Mastard et le miracle de la vie.

Un matin, sur le coup des cinq heures, la vieille Berthe Mastard fut réveillée par une envie d'uriner irrépressible. Berthe la vieille fille marcha en zigzaguant jusqu'aux toilettes, et à peine s'était-elle assise sur le siège que de son vagin sortit un bruit de pet monstrueux. Paralysée par la douleur, Berthe Mastard continua à pousser pendant quelques minutes et elle finit par faire jaillir une marée brûlante de saletés boueuses tandis que, livide, elle s'agrippait aux murs des toilettes.
Elle se mit ensuite à crier si sauvagement que les voisins appelèrent la police qui dès son arrivée sur les lieux appela les médecins. Lorsque les gens du SAMU arrivèrent, ils trouvèrent Mlle Mastard couchée sur le sol, inconsciente, vêtue uniquement de sa chemise de nuit. Le long de sa jambe dégoulinait un genre de sirop vert-maronnasse. Les médecins voulurent la déposer sur une civière, et au moment où ils saisirent les jambes de l'infortunée, l'orifice de son vagin béant laissa apparaître une créature pas plus grande que l'extrémité d'un doigt. Elle s'extrait en rampant de l'endroit et tomba sur le sol en faisant un "plop" dégoûtant.
L'équipe médicale stupéfaite regardait la créature qui baignait dans une enveloppe de mucus sur le carrelage. C'était une crevette de vase. Elle se contorsionnait d'avant en arrière, cherchant vraisemblablement à retourner dans le milieu liquide.
Un des infirmiers qui sentait la nausée l'envahir alla jusqu'aux toilettes. Lorsqu'il eut la tête au-dessus de la cuvette, ce qu'il vit était tellement horrible qu'il bondit d'un coup en arrière. La cuvette toute entière grouillait de bébés crevettes!
Si vous pensez que c'est dégoûtant, attendez d'entendre la fin: La mort de Mlle Mastard fut attribuée à la combinaison de son état de choc et de sa chute. Lorsqu'elle se releva des toilettes pour voir ce qu'elle avait fait, elle cria si fortement que ça alerta les voisins, et tomba la tête la première sur le carrelage.
Après enquête, le médecin de la police donna ses conclusions. Deux jours avant l'accident tragique, Mlle Mastard avait acheté un homard vivant chez le poissonnier. Le soir, alors qu'elle prenait son bain, elle inséra la queue du crustacé dans son vagin dans le but d'en tirer du plaisir.
À ce stade, elle agita la flamme d'un briquet devant la tête de l'animal, entraînant des mouvements de queue violents. Les médecins trouvèrent une vidéo X lesbienne dans le magnétoscope et la télé était positionnée à l'autre bout de la baignoire.
Le homard fut retrouvé dans la poubelle de la cuisine. On décela des traces d'A.D.N. de Mlle Berthe Mastard et quelques-uns de ses poils pubiens étaient coincés dans les jointures de la queue de l'animal. La tête du crustacé montrait par ailleurs des traces de brûlures.
On autopsia le homard. Dans son tube digestif, on retrouva des chapelets d'oeufs de crevettes. Le médecin légiste dit que le homard les avait ingérés juste avant sa capture et qu'ils n'avaient pas eu le temps d'être tous digérés. Lorsque Berthe Mastard brûla la tête de la bestiole, celle-ci libéra les oeufs de crevettes dans le vagin de la vieille fille. On sait que chez certaines crevettes, les oeufs peuvent éclore en moins de deux jours, particulièrement si le milieu qui les héberge recèle de bonnes conditions. Or une température de 37 degrés et un pH vaginal un peu acide se révélèrent être ce qu'il y avait de mieux pour incuber les oeufs de crevette. En l'espace d'une nuit, les oeufs éclorent et les crevettes commencèrent à se développer à vitesse grand V.
On imagine la douleur de la pauvre fille lorsqu'en se réveillant elle du mettre au monde quelque chose comme 1000 crevettes dans ses toilettes...
Mais l'histoire n'est pas terminée. Savez-vous comment le médecin légiste a pu retrouver la trame de ce scénario incroyable? C'est parce qu'avant de mourir, la vieille Mlle Mastard trempant son index dans ses glaires eut tout juste le temps d'écrire sur le carrelage:

HOMARD M'A TUER

À Lourdes, un homme rentre dans un magasin de lingerie. Timidement, il aborde la vendeuse:
"Je voudrai faire un cadeau pour ma femme, c'est son anniversaire. J'avais pensé à un soutien-gorge..."
"C'est une très bonne idée monsieur" lui dit la fille, "Quel type de soutien-gorge souhaitez-vous lui offrir?"
"Un type de soutien-gorge? Je sais qu'il y a plusieurs tailles, mais des types... Qu'est-ce que c'est?"
"Eh bien, comme on est à Lourdes, on vend nos soutiens-gorge selon leur caractéristiques religieuses. Ainsi, il y a le 'bonnet Catholique', le 'bonnet de l'Armée du Salut', le 'bonnet Presbytérien' et le 'bonnet Baptiste'.
"Ah bon? Et peut-être pouvez-vous me dire à quoi correspond cette classification?"
"C'est très simple: le bonnet Catholique soutient les masses, le bonnet de l'Armée du Salut relève les morts, le Presbytérien les tient fidèles et droits, et le bonnet Baptiste fait des montagnes avec des taupinière.

L'institutrice est en plein cours de vocabulaire. Aujourd'hui, le mot que tout le monde va apprendre à utiliser est "Catégorique" "Qui peut m'employer le mot 'Catégorique' dans une phrase ?"
Cindy lève la main et dit:
"Moi madame; De façon catégorique, on peut dire que le ciel est bleu!"
"Ah non," la reprend la maîtresse, "tu ne peux pas dire ça car le ciel peut être gris par exemple, et le soir quand le soleil se couche, il peut aussi être rouge..."
Kévin qui levait la main depuis tout à l'heure prend la parole:
"De façon catégorique, on peut dire que les feuilles dans les arbres sont vertes!"
"Eh non Kévin", le reprend la maîtresse, "tu as tort: en automne, les feuilles des arbres deviennent rouges ou marron et ensuite elles tombent par terre."
À ce moment là, Toto intervient du fond de la classe:
"Est-ce qu'un pet peut contenir des morceaux ?"
Une fois de plus, la maîtresse est horrifiée, comme à chacune des interventions de Toto. Reprenant son calme, elle tente une réponse:
"Bien sûr que non Toto !"
"Alors dans ce cas" continue Toto, "je suis catégorique: j'ai fait caca dans mon pantalon !"

Un jeune garçon de bonne famille, mais pas encore déniaisé, allait à son premier rendez-vous, avec une fille qui était connue pour ses moeurs libertines.
Le jeune puceau, rapidement encouragé par la belle n'hésita pas à donner à appuyer ses caresses... Le pelotage allait bon train et il ne fallut pas longtemps pour que la main du jeune homme chemine dans la petite culotte de la jeune fille.
Elle semblait d'ailleurs vraiment prendre du plaisir dans cette progression, jusqu'à ce que tout à coup elle proteste:
"AIE! Tu me fais mal avec ta bague!"
"Mais chérie, c'est pas ma bague! C'est ma Rolex."

"Chéri," dit le mari à sa femme, "j'ai invité un ami à venir dîner à la maison ce soir."
"Quoi? Mais tu es fou ma parole? La maison est un vrai foutoir, je n'ai pas eu le temps d'aller faire les courses, il n'y a plus un seul couvert propre et je ne me sens pas du tout d'humeur à faire la cuisine!"
"Je sais tout ça!"
"Dans ce cas, peux-tu m'expliquer pourquoi tu l'as invité à souper?"
"Parce que ce pauvre gars est en train de songer à se marier."

Un jour que maman faisait le lit dans la chambre de son fils âgé de 15 ans, elle tombe sur 'S&M fashion', un magazine voué à la gloire du bondage et du latex. Naturellement, elle est très en colère.
Le soir, quand rentre son mari, elle lui met la revue sous le nez en lui disant:
"Tiens! Regarde ce que j'ai trouvé dans la chambre de ton fils..."
Son époux prend la revue, la parcourt silencieusement une minute, puis il la rend à sa femme.
"Alors, qu'est-ce qu'on va faire?" lui demande-t-elle.
Et papa lui répond:
"Je ne sais pas, mais il y a une chose qui est sûre: c'est pas la peine de lui donner la fessée!"

Le docteur vient de procéder à toute une batterie de tests et examens. C'est le moment où il va rendre son diagnostic.
"J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. Je vous dis la mauvaise nouvelle d'abord:
Vous avez une maladie extrêmement grave. En moyenne, seule une personne sur dix peut y survivre!"
"Oh c'est terrible docteur. Mais dites-moi, quelle est la bonne nouvelle alors?"
"Mes neuf derniers patients sont morts."

Cendrillon (épilogue)

Cendrillon a maintenant 75 ans.

Après une vie heureuse avec son mari, le Prince, maintenant décédé, elle passe ses journées sur son perron dans une chaise berceuse, a observer le monde, avec son chat Bob sur ses genoux. Elle est heureuse. Par un bel après-midi, dans un nuage, apparaît soudain sa marraine, la bonne fée. Cendrillon lui demande: "Chère marraine, après toutes ces années, que fais-tu ici ?"

Sa marraine lui réplique : "Cendrillon, depuis la dernière fois que je t'ai vue, tu as vécu une vie exemplaire. Y a t il quelque chose que je puisse faire pour toi ? Un souhait que je pourrais exaucer ?"

Cendrillon est surprise, joyeuse et rouge de confusion. Après y avoir pensé un peu, elle murmure : "J'aimerais être immensément riche." A l'instant même, sa chaise berceuse se change en or massif. Cendrillon est abasourdie. Bob, son chat fidèle, sursaute et se réfugie au bord du perron, tremblant de peur. Cendrillon s'écrie : "Oh ! Marraine ! Merci !"

Sa marraine lui répond: "C'est la moindre des choses. Que veux-tu comme deuxième souhait ?"

Cendrillon baisse la tête et examine son pauvre corps décharné et dit : "J'aimerais être belle et jeune a nouveau." Presque instantanément, elle retrouve sa beauté d'antan. Cendrillon ressent en elle des sentiments qu'elle n'a pas ressenti depuis longtemps : des élans oubliés, des ardeurs ...

Sa marraine lui dit alors : "Je te donne un dernier souhait. Que désires-tu?"

Cendrillon regarde son pauvre chat apeuré et répond: "Je veux que tu transformes mon chat Bob en un beau et gentil jeune homme." Comme par magie, Bob est transformé en un magnifique spécimen male, si beau que les oiseaux même ne peuvent s'empêcher d'arrêter de voler et de tomber à ses pieds.

La bonne fée dit : "Félicitations Cendrillon. Amuse-toi bien dans ta nouvelle vie." Et en un éclair, elle est partie. Pendant quelques instants magiques, Bob et Cendrillon se regardent tendrement. Cendrillon est comme hypnotisée a la vue du plus bel homme qu'elle n'ait jamais vu. Puis, Bob s'avance langoureusement vers elle, la prend dans ses bras musclés, lui souffle dans l'oreille un souffle tout chaud et lui murmure:

"Là, tu regrettes de m'avoir fait opérer, n'est-ce pas ?"

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